Journal de bord
Date 11/02/2022 Direction du vent N Skipper Fred Duthil
Heure 8h Force du vent 15 nds Co-Skipper
Lieu de départ Trinité Etat de la mer Peu agitée Equipiers Philippe Bach
Lieu d’arrivée prévue Visibilité Bonne
Lieu d’arrivée réel Baromètre 1028 hPa

—

Comme beaucoup, Fred a commencé par l’Optimist et navigué sur le voilier de ses parents. Adolescent, il s’est passionné pour la planche à voile jusqu’à atteindre l’équipe de France olympique. S’il a échoué d’une petite place pour représenter la France, il nous fait part de son bonheur d’avoir représenté son pays à l’international.

Sa plus grande fierté reste d’avoir réussi la transition vers le monde de la course au large. Son coeur de régatier bat pour La Solitaire du Figaro : plus de dix participations avec de nombreux podiums dans les années 2000.

Il nous raconte aussi sa dernière Transat Jacques Vabre avec un départ atypique où tous les concurrents sont restés dans la pétole pendant 12 heures jusqu’au finish haletant.

Enfin, il donne ses conseils à ceux qui veulent se lancer dans un projet de course au large. Passionnant !

Journal de bord
Date 11/02/2022
Heure 8h
Lieu de départ Trinité
Lieu d’arrivée prévu
Lieu d’arrivée réel
Direction du vent N
Force du vent 15 nds
Etat de la mer Peu agitée
Visibilité Bonne
Baromètre 1028 hPa
Skipper Fred Duthil
Co-Skipper
Equipiers Philippe Bach

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Comme beaucoup, Fred a commencé par l’Optimist et navigué sur le voilier de ses parents. Adolescent, il s’est passionné pour la planche à voile jusqu’à atteindre l’équipe de France olympique. S’il a échoué d’une petite place pour représenter la France, il nous fait part de son bonheur d’avoir représenté son pays à l’international.

Sa plus grande fierté reste d’avoir réussi la transition vers le monde de la course au large. Son coeur de régatier bat pour La Solitaire du Figaro : plus de dix participations avec de nombreux podiums dans les années 2000.

Il nous raconte aussi sa dernière Transat Jacques Vabre avec un départ atypique où tous les concurrents sont restés dans la pétole pendant 12 heures jusqu’au finish haletant.

Enfin, il donne ses conseils à ceux qui veulent se lancer dans un projet de course au large. Passionnant !